mardi 19 juin 2012

Chemins de terre


1 commentaire:

  1. A chaque printemps le chant du merle, celui de la fauvette. Toujours et jamais les mêmes.
    A chaque automne le chant du rouge-gorge, la percée du crocus. Toujours identiques, jamais les mêmes.
    Ainsi le chemin ? Toujours le même, toujours différent ?
    Les pas des sages, les pas des fous, les pas des évadés, yeux ouverts, yeux fermés, tous creusent les mêmes setiers.
    Qui le sait ? L'oiseau moqueur a répondu.

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