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La fin d'un blog
Impermanence et changement... pas facile parfois... la fin de ce blog depuis avril 2012, pour moi, un espace de liberté, un espace d...
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D’abord il y a Bassho , l’incontournable, le marcheur, tout dans la tension entre joie et douleur, haïku- Bassho, toujours Ce j... -
Corps plein, corps unifié, corps et esprit UN. M° Dogen écrit dans le chapitre Roi des Samadhis, du Shobogenzo : ... -
une haie d'hibiscus une petite échoppe de sandales en paille Shiki elle franchit le seuil de ma porte sans s'...
Lundi 15
RépondreSupprimerCe matin, j'ai trouvé avec bonheur et gratitude un message de "mon" maître du Dharma (celui qui a parcouru le chemin sans limites) dans ma boîte-mail ; juste quelques mots mais ce qu'il faut pour l'élève éloigné et cherchant les traces sans fin du "qui sui-je ?"
Ainsi, à travers le temps et l'espace, la parole et le silence, loin, proche, même si la flamme vacille parfois, si l'obstacle est pénible à surmonter, la tendresse du Boddhisattva se manifeste...
Oui, je sais petits Occidentaux frileux, le mot maître ne plait pas à tout le monde.
Qui décide qui est le maître, si ce n'est le disciple lui-même ? A ses risques et périls...comme toute vie vraie.